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La Méthode Norvégienne : Un entraînement intelligent pour courir plus vite et éviter les blessures

  • Photo du rédacteur: François Perron
    François Perron
  • 31 mars
  • 3 min de lecture

Vous préparez un marathon ou une course de distance cet été ? Vous voulez améliorer votre endurance sans accumuler trop de fatigue ni risquer une blessure ? Alors, il est essentiel de bien gérer vos zones d’entraînement. Parmi les approches les plus efficaces, la méthode norvégienne s’impose comme une stratégie clé pour progresser sans se brûler.

Et si en plus, vous combinez cet entraînement avec un suivi chiropratique, vous pourriez non seulement optimiser votre performance, mais aussi prévenir les blessures qui freinent tant de coureurs.

Comprendre les zones d’entraînement sans se casser la tête

Lorsque vous courez, votre corps fonctionne à différentes intensités, appelées zones d’entraînement. Plutôt que de toujours courir trop vite (et s’épuiser) ou trop lentement (et ne pas progresser), il faut équilibrer ces zones.

Voici une version simple des 3 zones principales :

●  Zone 1 (facile, confortable) : Vous pouvez parler sans effort. Parfait pour les sorties longues et la récupération.

●  Zone 2 (effort modéré, mais contrôlé) : Vous sentez que vous travaillez, mais vous pourriez encore tenir une conversation. C’est la clé de l’endurance.

●  Zone 3 (soutenu, mais tenable) : Votre respiration s’accélère, vous pouvez dire quelques phrases mais pas discuter longtemps. C’est ici que la magie opère !

L’approche Norvégienne : courir malin, pas plus dur

Contrairement à la croyance populaire, les meilleurs marathoniens ne passent pas leur temps à sprinter. La méthode norvégienne repose sur un volume important d’entraînement en Zone 2 et Zone 3, avec un effort soutenu mais pas épuisant.

L’idée est simple : plutôt que de faire peu de séances très dures, vous faites plus de séances en zone confortable et modérée, et seulement une ou deux sessions d’entrainement à haute intensité par semaine. Cela vous permet d’améliorer votre endurance et votre vitesse sans vous épuiser.

La méthode norvégienne, popularisée par des athlètes tels que Jakob Ingebrigtsen, repose sur une approche structurée de l'entraînement en course à pied, mettant l'accent sur des séances dites de "double seuil". Cette technique consiste à réaliser deux séances d'intervalles autour du seuil lactique dans la même journée, généralement le matin et l'après-midi. L'objectif💡est d'accumuler un volume important d'entraînement de qualité sans générer une fatigue excessive, permettant ainsi une progression efficace tout en minimisant le risque de blessures.

Pourquoi ça marche ?- Vous accumulez du temps à un bon rythme sans trop de fatigue.- Vous développez une endurance de fer sans risquer l’usure prématurée.- Vous évitez les erreurs classiques comme s’entraîner trop dur trop souvent.

Le Rôle Clé de la Chiropratique pour Optimiser Vos Entraînements

En appliquant la méthode norvégienne, vous allez augmenter votre charge d’entraînement, ce qui peut révéler des déséquilibres musculaires et des tensions articulaires. C’est là que la chiropratique devient un atout majeur pour :

  • Améliorer votre posture et votre foulée → Un bon alignement aide à courir plus efficacement et à réduire la fatigue.

  • Prévenir les blessures courantes (genoux, hanches, dos) → Un suivi régulier aide à corriger les petits problèmes avant qu’ils ne deviennent sérieux.

  • Accélérer la récupération → Les ajustements chiropratiques et le travail myofascial permettent aux muscles et aux articulations de mieux récupérer après l’effort.

Conclusion : le duo gagnant pour votre compétitionSi vous voulez réussir votre course sans blessure, adoptez une approche intelligente :

Suivez la méthode norvégienne → Plus de volume en Zone 2-3 pour progresser sans vous épuiser.

Ajoutez la chiropratique → Optimisez votre posture, évitez les blessures et récupérez plus vite.

 
 
 

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